Ce qu’on a vu—octobre 2023
Ève Landry, Patrice Dubois et Stephie Mazunya se donnent la réplique dans «Corde. Raide». Traduite par Fanny Britt, cette pièce britannique est à l’affiche ces jours-ci à Montréal.
Ève Landry, Patrice Dubois et Stephie Mazunya se donnent la réplique dans «Corde. Raide». Traduite par Fanny Britt, cette pièce britannique est à l’affiche ces jours-ci à Montréal.
Comment concilier les deux crises qui nous accablent présentement, soit celles des médias et du climat? Notre chroniqueur a pris le pouls d’un domaine en pleine expansion dans les salles de nouvelles: le journalisme environnemental.
Chaque printemps, le Festival TransAmériques nous convie à une rencontre avec l’autre. Cette année, Montréal a notamment pu prendre le pouls des scènes de Bruxelles, Geelong et Toronto. Voici notre compte rendu.
Les enfants ne jouent pas assez dehors, dit-on souvent. Inquiets, les spécialistes proposent des leviers concrets pour encourager un retour au plein air, indispensable à la santé comme au développement de l’autonomie et de la créativité des plus petits.
En 1916 était instauré le premier programme officiel d’art de guerre canadien pour enregistrer les faits d’armes du pays durant la Première Guerre mondiale. Cent ans plus tard, les Forces canadiennes envoient toujours des artistes sur le terrain. Un anachronisme, à l’heure où les images de guerre affluent quotidiennement?
Bientôt, toute une génération de jeunes Anglais maitrisera la langue maternelle des ordinateurs. Dans un marché de l’emploi en pleine transformation, la programmation informatique devrait-elle être enseignée à tous?
Il reste encore bien du travail à faire pour venir en aide à ces adolescentes et jeunes femmes qui présentent des difficultés d’adaptation, à la fois sur les plans personnel et social. Mais la recherche universitaire permet de grandes avancées en la matière.
En agriculture, sur les fermes familiales, les femmes ont longtemps travaillé dans l’ombre de leur mari. Mais un changement de mentalités s’opère, peu à peu, notamment grâce aux recherches de notre collègue Julie Francoeur, qui vient de publier l’essai «Sortir du rang» aux éditions du Remue-ménage.
Dans le style associatif et empreint de bonté qui a fait sa marque depuis la parution de son premier recueil, en 2017, l’auteure trace un portrait fragmenté de l’expérience d’habiter seule.
À force d’aménager les aspects matériels et logistiques de notre vie, il devient souvent difficile de s’offrir des pauses du réel. Il y aurait pourtant là une solution salvatrice (et autrement efficace) pour échapper à l’austérité du quotidien.