Pour une poignée de bitcoins
À notre époque de méconnaissance généralisée des rouages de l’économie, de cynisme et de perte de confiance dans l’économie traditionnelle, le bitcoin est-il une utopie ou la monnaie de l’avenir?
À notre époque de méconnaissance généralisée des rouages de l’économie, de cynisme et de perte de confiance dans l’économie traditionnelle, le bitcoin est-il une utopie ou la monnaie de l’avenir?
Depuis la crise financière de 2008, nombre d’ouvrages ont été publiés pour tenter d’en expliquer les impacts sur l’ensemble du capitalisme mondial. Du lot, trois annoncent la fin du capitalisme tel qu’on l’a connu, voire son anéantissement complet.
De jeunes entrepreneurs dessinent une nouvelle façon de produire et de consommer, plus humaine et plus viable. Une nouvelle ère du capitalisme s’annonce-t-elle dans les petits ateliers du Mile End et de Brooklyn?
Montréal se targue d’être une «ville créative», Québec mise sur les arts et la culture pour dynamiser et diversifier son économie. Ces deux postures trouvent en partie leur origine dans les thèses de Richard Florida, dont le livre «The Rise of the Creative Class» a fait de la créativité l’un des concepts fétiches des urbanistes et des décideurs municipaux. Effet de mode ou tendance profonde? Dix ans plus tard, qu’en reste-t-il?
À la suite du krach de 1929, les chômeurs, soutenus par le Parti communiste du Canada, s’organisent. Leur message est clair: ils refusent de subir les contrecoups de la crise sans broncher.
Chaque année, avant les Fêtes, de nombreux Québécois convergent vers New York dans le but d’y vendre des sapins. Ni les nuits froides, ni les longues journées de travail, ni l’absence d’un lieu confortable pour dormir ne semblent freiner leur engouement. Notre journaliste s’est immergé, pendant cinq semaines, dans l’exigeant quotidien d’un marchand de sapins.
Collaboration, solidarité, nouvelle économie: tel est le vocabulaire alléchant mis de l’avant par des entreprises comme Airbnb et Uber. Mais ces startups ont-elles réellement plus à offrir?
Trop souvent, les objectifs au travail semblent s’opposer: l’entreprise pense productivité et rendement, et l’employé cherche l’engagement et la réalisation de soi. De nombreux modèles alternatifs— jeunes et moins jeunes—existent pourtant, qui réinventent le travail à leur façon.